16/11/2009Auteur : De Emmanuel Grandadam

Testé par plus de 100 000 personnes, le nouveau service de Google s’annonce comme une révolution pour les échanges et les mails.
L’effet le plus marquant est la notion de temps réel :
Les saisies sont distribuées en temps réel … c’est à dire : lettre à lettre. Cette notion modifie la manière de composer et d’échanger. (Le billet sur Slate est intéressant à ce sujet.)
Je reviens sur le temps réel que propose Google, En fait : il sagit d’exploiter un nouveau protocol de communication. (la version actuelle en Béta ressemble plus à une zone de test de ce protocol qu’a un outil terminé.)
La vitesse va jouer un rôle important pour le Web dans les années à venir. On remarque dans cet outil une manière détournée de contrer la ‘relative lenteur’ des moteurs de recherches.
En effet Twitter fait passer Google pour un escargot.
Le moteur d’indexation (des moteurs de recherches) permet de mémoriser de l’information figée, du contenu fixe. Twitter par contre permet de suivre des informations en temps réel. Et sur ce point, Twitter va plus vite de Google.
L’objectif est une veille en temps réel.
De nombreux sites sont créés pour répondre à cette demande ‘d’instantanéité’. Utilisant la recherche avec Tags ou mots clés.
Google Wave est donc dans cette lignée de l’information rapide.
8/11/2009Auteur : De Emmanuel Grandadam

1. La décision est prise de basculer tous mes supports de cours en version libre.
« L’idée est de ne pas garder la connaissance mais plutôt de la distribuer. »
J’ai en tête mes débuts en tant que formateur, les ressources proposées par d’autres sur le Web m’ont bien aidées. J’ai utiliser sans modération tous ce que je pouvais trouver.
Maintenant, je créé des ressources pour les autres, alors si je peux être utile : je le fait.
Le modèle économique du Web n’est pas basé sur la rétention d’information ! bien au contraire, il faut partager et de plus gratuitement ! Je reste persuader qu’il n’est pas possible de vendre ce type d’information sur le Web.
Je base ce partage de l’information sur les licences CreativeCommons qui implique que certains droits sont réservés.

2. J’ai fait le choix de donner mes PDF en version non protégé avec comme droits :
- Paternité. Vous devez citer le nom de l’auteur original de la manière indiquée par l’auteur de l’oeuvre ou le titulaire des droits qui vous confère cette autorisation (mais pas d’une manière qui suggérerait qu’ils vous soutiennent ou approuvent votre utilisation de l’oeuvre).
- Pas d’Utilisation Commerciale. Vous n’avez pas le droit d’utiliser cette création à des fins commerciales.
- Pas de Modification. Vous n’avez pas le droit de modifier, de transformer ou d’adapter cette création.
http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/deed.fr
3. Je transforme mes cours en PDF et insère une page à la fin pour présenter la licence.
Le risque est de retrouver mes documents utilisés de manière incorrecte ou encore vendus pas d’autres. C’est un risque que je prend.
4. Ce qu’il faut bien retenir de cette démarche :
- Diffuser du savoir.
- Se garder l’animation du cours.
- Ne pas chercher à contrôler le flux.
- Essayer d’avoir des retours (Twitter ?)
Mon site seras à jours d’ici quelques temps avec une section dédiée à ces documents.

25/10/2009Auteur : De Emmanuel Grandadam
Histoire de comprendre comment fonctionne la création de thèmes pour iGoogle, j’ai fait quelques manipulation avec leur structure XML.
Dommage, mais Google ne laisse pas accès à la feuille de style directement pour modifier l’apparence de la page. Il faut donc passer par les commandes ‘préfabriquées’ inclusent dans le fichier XML de création de thèmes.
Le plus long c’est de comprendre quelles balises influence quels changements … la doc n’est pas très claire et les modifications se superposent.


Ces thèmes sont en cours de validation par Google. L’attente est de deux à trois semaines quand même !! les fichiers qui composent les thèmes sont uploader sur les serveurs de Google.