Etre créatif en 12 leçons.

  1. Ignore les autres.
  2. La créativité est une récompense en soi.
  3. Prends ton temps.
  4. Si tu espères découvrir subitement l’idée du siècle, ça va sûrement foirer.
  5. Tu es responsable de ta propre expérience.
  6. Tout le monde est né créatif : on a tous fait des dessins à la maternelle.
  7. Garde ton boulot alimentaire.
  8. Les entreprises qui brident la créativité sont plus nombreuses que celles qui l’encouragent.
  9. Chacun a son propre mont Everest à grimper.
  10. Plus quelqu’un est talentueux, moins il a besoin de confort.
  11. N’essaie pas de te détacher de la masse : évite la masse.
  12. Si tu acceptes la douleur, tu n’auras pas mal.

3 commentaires pour cet article :

  1. 11/09/2009Steff

    j’ai beau être matinal, j’ai mal…

  2. 12/09/2009Laurette

    Soyons réalistes, demandons l’impossible…..

  3. 3/12/2012Martin

    Bonjour,merci pour cet article ceolpmt sur un sujet m’inte9ressant.je suis bibliothe9caire et me demande quel sera l’avenir de ma profession. Dans l’absolu, si tout le monde est e9quipe9 d’un lecteur hybride (type ipad, beaucoup plus apte e0 toucher le grand public que les liseuses je pense) et que tous les e-books sont accessibles gratuitement (finance9 par la pub ou inclus dans le forfait/abonnement aux services du lecteur), qu’en sera t’il des bibliothe8ques ?Pour l’instant, les bibliothe8ques (universitaires/recherche) sont indispensables pour qui veut consulter des articles scientifiques (via des bouquets). Qu’on les consulte sur place ou e0 distance via son nume9ro d’inscrit e0 la bibliothe8que.Pour qui veut emprunter ou consulter des livres gratuitement, c’est la meame chose.A l’avenir, j’imagine que les BU de9velopperont leur offre d’e-books (de9je0 existante).Certes, j’imagine mal des encyclope9dies ou des articles scientifiques encombre9s de publicite9, mais pour les livres en tant que tel, je reste dubitatif, voire craintif.Le rf4le du bibliothe9caire serait (et est) celui de formateur e0 la recherche documentaire, e0 l’analyse des sources. Mais il serait impossible de reconvertir les milliers de bibliothe9caires frane7ais dans le domaine professionnel de la prescription.Alors, quel futur ?